Quand vous rencontrez une chanteuse de jazz qui vous fait hérisser les poils sur les bras avec In Extremis au Duc des Lombarts, qui vous ravi le cerveau en interprétant les fleurs du mal (du non moins talentueux Tristan Macé) au Triton, qui vous fait passer 1 heure en apesanteur au Sunside dans le cadre du Festival Paris Music avec son duo Madeleine et Salomon – vous vous dites : le jour où elle vient me voir avec un projet hyper ambitieux mêlant le son, l’image, la danse, le graphisme… sur un thème fort et avec une pléiade d’artistes, alors je serais là.
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