
Brooklyn Heights est une artiste parisienne toute en douceur et en finesse, proposant une
folk très mélodique. Son premier EP (sortie en mai 2022) allie des compositions et interprétations subtiles accompagnées avec grâce par nos meilleurs musiciens (Sébastien Chouard à la guitare, Laurent Vernerey à la basse, Frédéric Gaillardet aux claviers et Stéphane Planchon à la batterie/Cajon et à la réalisation). Profondément marquée par New York après un passage à Broadway dans une production de comédie musicale, elle reprend les codes de la scène folk locale et prends le pseudonyme de son quartier d'adoption.
1) Monkey: Reprise d'un morceau rock de Blackfeet Revolution, le traitement voix guitare basse restitue tout le potentiel pop/folk de la chanson. L'émotion est garantie avec comme point d'orgue une envolée de cordes.
2) Little Me: Cette chanson plus rythmée au Cajon évoque notre fragilité d'enfant. Le gimmick est servi par un xylophone de bébé et la voix chaleureuse de l'artiste évoque une maman rassurante qui se parle à elle-même petite.
3) Gretna Green: Chanson à écouter dans un pub, en référence à la ville irlandaise qui célèbre des mariages rapides afin d'éviter aux jeunes filles les mariages forcés. Le rythme soutenu au Cajon donne envie de tourner comme Jack et Rose.
4) Somebody: Morceau d'une extrême douceur racontant la solitude d'une jeune fille susurrée à l'oreille. Une performance vocale parfaitement maîtrisée virevolte lentement une plume doucement ballotée par un vent frais de printemps, accompagnée par une orchestration chaleureuse en font 2mn45 de pur bonheur.
5) Beautiful: Dernier titre racontant la dépendance envers des personnes aux apparences parfaites, puis la prise de conscience de sa propre valeur.
folk très mélodique. Son premier EP (sortie en mai 2022) allie des compositions et interprétations subtiles accompagnées avec grâce par nos meilleurs musiciens (Sébastien Chouard à la guitare, Laurent Vernerey à la basse, Frédéric Gaillardet aux claviers et Stéphane Planchon à la batterie/Cajon et à la réalisation). Profondément marquée par New York après un passage à Broadway dans une production de comédie musicale, elle reprend les codes de la scène folk locale et prends le pseudonyme de son quartier d'adoption.
1) Monkey: Reprise d'un morceau rock de Blackfeet Revolution, le traitement voix guitare basse restitue tout le potentiel pop/folk de la chanson. L'émotion est garantie avec comme point d'orgue une envolée de cordes.
2) Little Me: Cette chanson plus rythmée au Cajon évoque notre fragilité d'enfant. Le gimmick est servi par un xylophone de bébé et la voix chaleureuse de l'artiste évoque une maman rassurante qui se parle à elle-même petite.
3) Gretna Green: Chanson à écouter dans un pub, en référence à la ville irlandaise qui célèbre des mariages rapides afin d'éviter aux jeunes filles les mariages forcés. Le rythme soutenu au Cajon donne envie de tourner comme Jack et Rose.
4) Somebody: Morceau d'une extrême douceur racontant la solitude d'une jeune fille susurrée à l'oreille. Une performance vocale parfaitement maîtrisée virevolte lentement une plume doucement ballotée par un vent frais de printemps, accompagnée par une orchestration chaleureuse en font 2mn45 de pur bonheur.
5) Beautiful: Dernier titre racontant la dépendance envers des personnes aux apparences parfaites, puis la prise de conscience de sa propre valeur.